Face au marché économique en pleine expansion des médecines alternatives, la porte est grande ouverte aux praticiens peu formés voire aux charlatans. Assureur responsable, Generali vérifie depuis quelques mois, lors de la prise en charge des soins de médecines douces, que ceux-ci ont été pratiqués par des personnes référencées.
Quels sont les contrats concernés ?
Toutes les offres santé en gestion directe sont concernées.
Qu’est-ce qui est concrètement mis en place ?
Lors du traitement de la prise en charge des soins de médecines douces, naturelles ou alternatives, les services de Generali vérifient que le professionnel de santé satisfait aux dispositions législatives et/ou règlementaires en vigueur selon sa spécialité :
être référencé auprès de l’Ordre concerné pour le n° RPPS (Répertoire Partagé des Professionnels de Santé) ou auprès de l’Agence Régionale de Santé (ARS) de sa région ;
et/ou,
disposer d’un numéro d’enregistrement au répertoire ADELI (professionnel de santé) ou FINESS (médecin).
Si la profession n’est pas représentée sur l’un de ces répertoires, le professionnel de santé devra être inscrit sur le registre officiel de sa profession. En cas de non-respect de ces règles, le remboursement de la prestation pourra être refusé à l’assuré. Pourquoi la mise en place cette mesure ? En s’assurant que les remboursements versés concernent des pratiques de soins de professionnels de santé référencés par les autorités compétentes, Generali s’inscrit dans une démarche de prévention vis-à-vis de la santé de ses clients.
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